15 décembre 2008
Version moi-même, avec Gonzalès ( trop méconnaissable, ici)
Ouais hein, puisque mon lectorat-s'il en est encore après cette periode d'abstinence- est à la traine pour me refourguer du nouveau, je m'occupe un peu de moi. Donc dans un bain chaud, avec Gonzalès me racontant des anectodes musicales en sirotant un St Emilion à l'écoute du requiem de Mozart.
Et avant que tout le monde me le fasse remarquer a juste titre, c'est pas ressemblant. J'invoquerais les paroles de Grands Hommes de toutes époque, conçues de ces quelques mots : tant pis.
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